09- Jai mal
09- J’ai mal
Bon alors je vais faire rapide parce que j’en chie comme un turc.
Résumé des épisodes précédents…
Vendredi, pas cours, donc nous sommes allés boire de la bière dès 10h avec les quelques rescapés qui avaient prévu d’aller en cours. Le soir même, très bonne soirée en la compagnie de JB, le Jean-Baptiste finalement, de sa copine et d’amis à eux. Nous fûmes ensuite rejoints par Gaston et sa copine Emile mais tout le monde s’en fout, même moi, c’est dire. Les photos parlent d’elles-mêmes.
J'ai comme l'impression que JB kiffe l'alcool...
Samedi, 11h, entraînement, 12h45 chute fatidique, jambe qui se tord, se plie, fait un salto et un double nœud puis un alto. Pompiers pas pressés, je tombe dans les pommes à cause de la douleur, Sortie des urgences vers 15h, Marc vient me chercher quelques temps après, nous allons à la pharmacie près de chez moi où Marc achète ses médocs pour sa crève (angine) et on me dit qu’on n’a pas d’attelle pour moi et on nous conseille d’aller à Leclerc, y en a pas, mais à Auchan oui… un samedi après-midi, rendez-vous compte. Ce cher Marc, totalement caritatif, me dépose chez moi vers 17h30 je mange enfin, mon premier repas de la journée, puis ma chère et tendre me donne un bain. Alors oui je suis totalement impotent, j’ai une… entoooooorse du putain de geeeeeenouuuuuuu droit. Conséquences : humeur exécrable, chiant, capricieux et pas envie de travailler.
J'ai récidivé... mais c'est trop bon !
D’un autre côté, auriez-vous envie de travailler en voyant des intitulés comme ça ?
« décrivez la nature de l'échange communicationnel du point de vue structural ». Oui alors je répondrais bien que d’un point de vue structurellement intrinsèque, la proportionnalité de la dérive consumériste de la société capitaliste est en exergue in fine tu quoque mi fili de l’opulence communicationnelle, de mes deux.
A Nantes sévit un crew de taggers aveugles qui taguent en brail...
Sinon ma chère et tendre cumule les christophades, après avoir remplacé une ampoule que j’avais changée juste avant, par une ampoule grillée, Elodie a sorti le linge du lave-linge puis plié et rangé sans avoir au préalable lancé la machine. Elodie ou comment économiser de la flotte.
Pour l’instant, mes journées sont rythmées par la prise de painkillers, mes dyantalvics. Donc, plus de vélo, plus d’entraînement, plus de voiture, en plus on ne m’a pas prescrit de béquilles alors que j’ai beaucoup de mal à poser le pied parterre.
Bon, voilà pour les dernières nouvelles… j’ai beau être matinal, j’ai mal. Et puis il fait froid, et j’ai perdu mon sweet à capuche noir, marre marre maaaaaaaarre.
Je tiens à dédicacer cet article à mon sauveur, Marc, qui m'a trimballé toute la journée d'hier, bien que sur le point de mourir, et à ma douce, bien entendu, qui m'a dorloté, merci à vous, je kiffe gravement vos personnes.
Pour ceux qui ne voient pas trop ce qu'est le roller hockey, mis à part un sport susceptible de vous foutre des entorses au genou droit, c'est ça...