2- Poisseman, le retour de la vengeance.
2- Poisseman, le retour de la vengeance.
Alors vous vous dites : « Julien, il a pas de bol ». C’est pas faux, bien au contraire. Pour faire vite, parce que je sais que vous êtes pressés, j’arrive, il y a un rat chez moi, il meurt, paf ! hé bah y en a un autre qui se ramène. Du coup impossible d’aérer puisque ma chambre donne sur une espèce de véranda dans laquelle était enfermé l’animal nuisant. Déjà que ça sentait pas terrible, imaginez l’odeur de ma chambre sachant que je sue la nuit, que je pète facilement toutes les 2 minutes, et qu’il semblerait que le ménage n’ait jamais été fait dans ce trou à rat de merde de pute. Pardon. En plus, je sais pas comment est orientée la chambre, mais n’ayant pas de fenêtre, je n’ai pas de source lumineuse naturelle.
Mais jusque là tout allait bien, certes on me vole mon vélo, sur lequel j’avais passé des heures de réglages (mais je suis sûr que l’emprunteur m’en est très reconnaissant, enculé), Ninja (Janine donc…) semble être du matin… moi pas. Ah oui parce que la télé est limite contre ma chambre, et si ça avait été insonorisé tout ce bordel, ça aurait pas vraiment été drôle… bah nan. Du coup quand je commence les cours tard, je suis réveillé par Brook, mais siiiii, la nana dans « aaaaaamouuuuur, gloiiiiiréboooootéééé, dééééémoooooooookifonnnnnnnnnnn ta gueuuuuuuule ! ». et si c’est pas ça c’est Janine qui chantonne à 310 décibels, 2300 watts de puissance, sans compter les giga hertz. Chais pas si je vous ai dit qu’elle était à moitié complètement sourde comme un pot ?
Mais je m’égare, continuons dans notre lancée. Il s’avère que le voisin est un connard et il s’est garé à 2 cm de ma voiture, garée elle-même en face d’un mur, après l’avoir sortie j’avais les bras de Shwarzy. Mais ça c’est pas graaaaaave !
Maintenant, une petite leçon de vélo. Ne jamais, ô grand jamais, faire du vélo à contre-sens, quand il pleut, en essayant d’éviter les voitures et sauter sur le trottoir. En fait c’est pas tellement un mauvais mouvement du corps qui a fait que je me suis vautré sur 10 mètres, c’est les mauvaises conditions climatiques, le mauvais travail de la DDE pour nous chier des trottoirs aussi glissant, et une vitesse excessive qui va de paire avec le terme « vélo ». Il faut quand même savoir qu’il ne pleut jamais à la Rochelle, ou gros max 15 jours dans l’année, super ça veut dire qu’il y a plus que 7 jours à flotter et après on sera pénard pendant 11 mois et demi. J’arrive toujours en cours avec le calbar mouillé, marre !
Autre conseil, ne jamais s’accouder au comptoir, déjà ça fait ouvrier, et surtout pas quand vous pissez le sang du doigt et que votre compagnon de beuverie a renversé du rom sur le bar… C’est chaud, ça piiiiiiique !
Je vous garantis que d’ici la semaine prochaine je me fait tabasser, je me coupe une jambe (accident de coupe-ongle ?), on me choure les roues de ma caisse, on me vomit dans la bouche, on me choure mon nouveau vélo parce qu’il y a pas de raisons, mon pécé tombe en rade, mon magnifique cadre au dessus de mon lit tombe pendant la nuit et me tue, comble pour un mec aussi concupiscent que moi (j’affectionne ce mot autant qu’ « autochtone »), ma chambre à Caen prend feu (la poisse marche également à distance), on m’annonce que j’ai la myxomatose, doublée d’une scarlatine pullulante… et j’en passe et des meilleurs, bref je sens que vous allez bien vous marrer, moi perso, pas vraiment.
Maintenant je vous raconte mon vendredi soir. Alors pour moi, au moment où j’écris, c’était hier. Je reçois un appel de Gaston, Gaston, frère de Julie, Julie, copine de Charles, Charles lui-même lui-même. Bref Il me dit viens prendre l’ apéro, je m’exécute, je rencontre des gens très sympas, Emilie, une fille, Bartek, un polonais, Nick, un anglais, Phil, un anglais, moi, un anglais mais je me connaissais déjà un peu.
Ensuite on sort, mais on se sépare on se sera pas retrouvé de la soirée. Gaston et moi allons à la « Callute », déjà un peu éméchés, nous y voyons un collègue de Gaston, Marco, qu’il connaît depuis une semaine et qui est apparemment en possession de mes CD. Il y avait aussi pas mal de potes et potesses à lui. Nous sortons de là encore plus éméchés et allons au « Piano pub ». En l’espace d’une heure et demi ou plus nous passons du stade de « complètement éméchés » à « grave bourrés à mort à gerber par terre tellement que t’en peux plus de la mort qui tue sa race de bâtard, à poil ». Nous parlons avec des nanas, qui n’étaient pas anglaises. C’est un point important parce que Gaston a fait une fixette et a cru qu’elles l’étaient toute la soirée. Or, que néni (word me propose de corrigé « néni »par « néné », que néné… cocasse n’est-ce pas ?). Sur le retour, on croise des mecs qui pétaient tous les rétros qu’ils pouvaient, et je me souviens, après avoir tenté de les raisonner de ma dernière phrase : « nan mais de toute façon je pense que vous êtes des gros cons ».
Bon sinon tout se passe très bien au niveau des cours. Y a déjà un mec qui a abandonné, il est parti, comme ça, pouf ! j’ai dû lui faire peur… C’est marrant de postuler pour un truc qu’on veut pas faire…
Sinon et sans vouloir passer du coq à l’âne parce que j’ai pas envie de me faire chier avec des transitions, vu que j’ai très envie de faire caca, que je ferais bien un coup de ménage, mon anglais et un tour en ville, j’ai fait un rêve érotique avec la nana dont je parlais l’autre jour, Laurence, dans ma promo, bref.
Mais le rêve bizarre que j’ai fait est que j’étais en voiture, dans ma petite Twingo orange, que je tombais à la flotte avec mais qu’en fait c’était sur des galets, à marrée basse et sur les 4 roues, sans se retourner… ah ouais parce que c’était vachement haut quand-même ! Du coup je conduisais et ça glissait vachement, impossible de m’en sortir, et après un certain temps j’étais avec mon père qui faisait un peu la gueule, chais pas pourquoi, et il en avait profité tant qu’il y était, pour mettre ma voiture au garage et mettre des roues de 17 pouces, gentes allu, la méga classe. Il n’empêche que mon père avait fait remettre la voiture à la flotte, truc un peu débile.
Je crois qu’à force de déconner et dire que j’allais chourer les roues de Flagada (voire son blog dans les liens) pour les mettre sur El Taco (nom de ma voiture), ça m’a travaillé.
Encore aucun lien, mais y en a qui disent à la promo, le matin, ou en partant, « salut les loulous » ou les « ptits loups », alors moi je supporte pas, parce que je suis un poussin de l’enfer, et d’une, et que de deux, du coup, j’ai demandé à me faire appeler « Goldorak ».
Juste un petit rappel, pour certains, je suis à la Rockelle (comme tu le dis si bien Emilie) pour faire une licence professionnelle activité et technique de communication, spécialité Lettres, culture et nouveaux médias. Mais si on vous demande dites licence pro médiation culturelle.
Alors vous vous dites : « Julien, il a pas de bol ». C’est pas faux, bien au contraire. Pour faire vite, parce que je sais que vous êtes pressés, j’arrive, il y a un rat chez moi, il meurt, paf ! hé bah y en a un autre qui se ramène. Du coup impossible d’aérer puisque ma chambre donne sur une espèce de véranda dans laquelle était enfermé l’animal nuisant. Déjà que ça sentait pas terrible, imaginez l’odeur de ma chambre sachant que je sue la nuit, que je pète facilement toutes les 2 minutes, et qu’il semblerait que le ménage n’ait jamais été fait dans ce trou à rat de merde de pute. Pardon. En plus, je sais pas comment est orientée la chambre, mais n’ayant pas de fenêtre, je n’ai pas de source lumineuse naturelle.
Mais jusque là tout allait bien, certes on me vole mon vélo, sur lequel j’avais passé des heures de réglages (mais je suis sûr que l’emprunteur m’en est très reconnaissant, enculé), Ninja (Janine donc…) semble être du matin… moi pas. Ah oui parce que la télé est limite contre ma chambre, et si ça avait été insonorisé tout ce bordel, ça aurait pas vraiment été drôle… bah nan. Du coup quand je commence les cours tard, je suis réveillé par Brook, mais siiiii, la nana dans « aaaaaamouuuuur, gloiiiiiréboooootéééé, dééééémoooooooookifonnnnnnnnnnn ta gueuuuuuuule ! ». et si c’est pas ça c’est Janine qui chantonne à 310 décibels, 2300 watts de puissance, sans compter les giga hertz. Chais pas si je vous ai dit qu’elle était à moitié complètement sourde comme un pot ?
Mais je m’égare, continuons dans notre lancée. Il s’avère que le voisin est un connard et il s’est garé à 2 cm de ma voiture, garée elle-même en face d’un mur, après l’avoir sortie j’avais les bras de Shwarzy. Mais ça c’est pas graaaaaave !
Maintenant, une petite leçon de vélo. Ne jamais, ô grand jamais, faire du vélo à contre-sens, quand il pleut, en essayant d’éviter les voitures et sauter sur le trottoir. En fait c’est pas tellement un mauvais mouvement du corps qui a fait que je me suis vautré sur 10 mètres, c’est les mauvaises conditions climatiques, le mauvais travail de la DDE pour nous chier des trottoirs aussi glissant, et une vitesse excessive qui va de paire avec le terme « vélo ». Il faut quand même savoir qu’il ne pleut jamais à la Rochelle, ou gros max 15 jours dans l’année, super ça veut dire qu’il y a plus que 7 jours à flotter et après on sera pénard pendant 11 mois et demi. J’arrive toujours en cours avec le calbar mouillé, marre !
Autre conseil, ne jamais s’accouder au comptoir, déjà ça fait ouvrier, et surtout pas quand vous pissez le sang du doigt et que votre compagnon de beuverie a renversé du rom sur le bar… C’est chaud, ça piiiiiiique !
Je vous garantis que d’ici la semaine prochaine je me fait tabasser, je me coupe une jambe (accident de coupe-ongle ?), on me choure les roues de ma caisse, on me vomit dans la bouche, on me choure mon nouveau vélo parce qu’il y a pas de raisons, mon pécé tombe en rade, mon magnifique cadre au dessus de mon lit tombe pendant la nuit et me tue, comble pour un mec aussi concupiscent que moi (j’affectionne ce mot autant qu’ « autochtone »), ma chambre à Caen prend feu (la poisse marche également à distance), on m’annonce que j’ai la myxomatose, doublée d’une scarlatine pullulante… et j’en passe et des meilleurs, bref je sens que vous allez bien vous marrer, moi perso, pas vraiment.
Maintenant je vous raconte mon vendredi soir. Alors pour moi, au moment où j’écris, c’était hier. Je reçois un appel de Gaston, Gaston, frère de Julie, Julie, copine de Charles, Charles lui-même lui-même. Bref Il me dit viens prendre l’ apéro, je m’exécute, je rencontre des gens très sympas, Emilie, une fille, Bartek, un polonais, Nick, un anglais, Phil, un anglais, moi, un anglais mais je me connaissais déjà un peu.
Ensuite on sort, mais on se sépare on se sera pas retrouvé de la soirée. Gaston et moi allons à la « Callute », déjà un peu éméchés, nous y voyons un collègue de Gaston, Marco, qu’il connaît depuis une semaine et qui est apparemment en possession de mes CD. Il y avait aussi pas mal de potes et potesses à lui. Nous sortons de là encore plus éméchés et allons au « Piano pub ». En l’espace d’une heure et demi ou plus nous passons du stade de « complètement éméchés » à « grave bourrés à mort à gerber par terre tellement que t’en peux plus de la mort qui tue sa race de bâtard, à poil ». Nous parlons avec des nanas, qui n’étaient pas anglaises. C’est un point important parce que Gaston a fait une fixette et a cru qu’elles l’étaient toute la soirée. Or, que néni (word me propose de corrigé « néni »par « néné », que néné… cocasse n’est-ce pas ?). Sur le retour, on croise des mecs qui pétaient tous les rétros qu’ils pouvaient, et je me souviens, après avoir tenté de les raisonner de ma dernière phrase : « nan mais de toute façon je pense que vous êtes des gros cons ».
Bon sinon tout se passe très bien au niveau des cours. Y a déjà un mec qui a abandonné, il est parti, comme ça, pouf ! j’ai dû lui faire peur… C’est marrant de postuler pour un truc qu’on veut pas faire…
Sinon et sans vouloir passer du coq à l’âne parce que j’ai pas envie de me faire chier avec des transitions, vu que j’ai très envie de faire caca, que je ferais bien un coup de ménage, mon anglais et un tour en ville, j’ai fait un rêve érotique avec la nana dont je parlais l’autre jour, Laurence, dans ma promo, bref.
Mais le rêve bizarre que j’ai fait est que j’étais en voiture, dans ma petite Twingo orange, que je tombais à la flotte avec mais qu’en fait c’était sur des galets, à marrée basse et sur les 4 roues, sans se retourner… ah ouais parce que c’était vachement haut quand-même ! Du coup je conduisais et ça glissait vachement, impossible de m’en sortir, et après un certain temps j’étais avec mon père qui faisait un peu la gueule, chais pas pourquoi, et il en avait profité tant qu’il y était, pour mettre ma voiture au garage et mettre des roues de 17 pouces, gentes allu, la méga classe. Il n’empêche que mon père avait fait remettre la voiture à la flotte, truc un peu débile.
Je crois qu’à force de déconner et dire que j’allais chourer les roues de Flagada (voire son blog dans les liens) pour les mettre sur El Taco (nom de ma voiture), ça m’a travaillé.
Encore aucun lien, mais y en a qui disent à la promo, le matin, ou en partant, « salut les loulous » ou les « ptits loups », alors moi je supporte pas, parce que je suis un poussin de l’enfer, et d’une, et que de deux, du coup, j’ai demandé à me faire appeler « Goldorak ».
Juste un petit rappel, pour certains, je suis à la Rockelle (comme tu le dis si bien Emilie) pour faire une licence professionnelle activité et technique de communication, spécialité Lettres, culture et nouveaux médias. Mais si on vous demande dites licence pro médiation culturelle.